Vladimir Poutine en septembre dernier
La Cour pénale internationale (Cpi) a déploré jeudi 24 octobre que la Mongolie, un État membre, n’ait pas arrêté le président russe Vladimir Poutine lors de sa visite dans ce pays en septembre 2024.
La CPI « a conclu qu’en n’arrêtant pas Vladimir Poutine alors qu’il se trouvait sur son territoire et en ne le remettant pas à la cour, la Mongolie n’a pas donné suite à la demande de coopération de la cour à cet égard », a déclaré dans un communiqué la juridiction, qui siège à La Haye (Pays-Bas). Vladimir Poutine est visé par un mandat d’arrêt de la Cpi pour des faits liés à la guerre en Ukraine, qu’il a déclenchée en février 2022.
Rfi