Le coordonnateur national des réseaux Olivier Boko est désormais libre de ses mouvements. C’est ce qui ressort du délibéré du dossier « d’incitation à la rébellion et de harcèlement par voie électronique » dans lequel il est impliqué. Interpellé le 7 octobre 2024, il a été placé sous mandat de dépôt par la Cour de Répression des Infractions économiques et du terrorisme (Criet) le 14 octobre 2024. Cette décision est intervenue ce jeudi 23 janvier lors d’une audience au cours de laquelle la cour l’a acquitté de toutes les charges qui pesaient sur lui. Il lui était notamment reproché d’avoir publié des messages tendancieux sur les réseaux sociaux après l’éclatement de l’affaire de « tentative de coup d’État ». Lors des précédentes audiences, il avait regretté les publications incriminées et plaidé la clémence de la Cour.