Le Garde des sceaux, ministre de la Justice et de la législation, Sévérin Quenum, a accordé la liberté conditionnelle à 10 personnes condamnées au titre du 4ème trimestre de l’année 2022 exécutant leur peines dans les établissements pénitentiaires de Cotonou, de Porto-Novo, de Lokossa, de Savalou, d’Akpro-Missérété, de Ouidah, d’Abomey-Calavi et d’Abomey pour le compte de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet). Il l’a fait savoir à travers un arrêté en date du mercredi 29 mars 2023.
Bonne nouvelle pour dix personnes condamnées au titre du 4ème trimestre de l’année 2022 et exécutant leurs peines dans les établissements pénitentiaires de Cotonou, de Porto-Novo, de Lokossa, de Savalou, d’Akpro-Missérété, de Ouidah, d’Abomey-Calavi et d’Abomey pour le compte de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet). Ils sont désormais libres de leurs mouvements. Leur liberté conditionnelle a été entérinée par arrêté signé du Garde des sceaux, ministre de la Justice et de la législation, Sévérin Quenum. Il s’agit précisément de l’acte N°055/Mjl/Dc/Sgm/Dapg/Sa/…Sgg22 portant libération conditionnelle au titre du quatrième trimestre de l’année 2022 des condamnés exécutant leurs peines dans les établissements pénitentiaires sus-cités pour le compte de la Criet. Les bénéficiaires de cette liberté conditionnelle sont Assani Isboulaï, Zinsou Dénis, Tchegnonhou Daniel, Djatchi Victorin, Chico Camille, Komahoué Elie, Janvier da Silva Hygin Pamphile Florent, Oforbuike Emeka Hyginus, Glin Emmanuel et Babatola Pacôme, tous des condamnés qui n’ont pas fini de purger leurs peines de prison sont désormais libres de leurs mouvements. Il faut dire que la liberté conditionnelle a été accordée à ces dix (10) personnes condamnées à des peines qui varient entre 24, 60 et 160 mois de prison. « L’exécution de cette mesure est subordonnée pour les personnes condamnées pour crimes (…) commis au préjudice de l’Etat, des établissements, offices et sociétés publics ainsi que des collectivités territoriales, au remboursement ou au règlement des sommes mises à leur charge », précise l’arrêté ministériel.