Le président de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (Haac), Edouard Loko, a reçu en audience, ce mercredi 5 mars 2025, Conrad Gbaguidi, le président du Conseil économique et social (Ces). Cette rencontre s’est tenue au siège de l’institution de régulation des médias à Cotonou.
Une semaine après son élection à la tête de la 7ème mandature du Conseil économique et social (Ces), Conrad Gbaguidi a entamé une tournée de prise de contact avec les présidents des autres institutions de la République. Ce mercredi 5 mars 2025, le nouveau président du Ces a été reçu en audience par Edouard Loko, président de la Haac.
A sa sortie d’audience, Conrad Gbaguidi a confié à la presse l’objectif de cette rencontre. « Depuis quelques jours, on est en train de faire le tour des différentes institutions. Depuis notre élection, le 26 février dernier, pour déjà nous présenter à nos pairs et faire en sorte de trouver rapidement les canevas de collaboration pour se mettre au travail, pour commencer à agir rapidement selon nos missions respectives et ce que nous devrions faire ensemble pour faire avancer nos différentes institutions », a révélé le président du Conseil économique et social.
A l’entendre, au cours de cette séance, le président de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication et lui, ont trouvé des synergies pour que très vite, dans les jours qui viennent, les deux institutions commencent à collaborer. « Je rappelle que notre institution, le Conseil économique et social, est la seule institution qui existe, qui a des démembrements dans les différents départements. Donc, en tant que conseiller, nous avons neuf conseillers par département qui ont fait un travail de terrain. Et un travail de terrain pas que pour le Conseil économique et social, mais pour l’ensemble des institutions, parce qu’il était important de relayer différentes décisions, des actes, des lois, qui sont prises par-ci, par-là, pour que la population puisse s’en imprégner », a-t-il ajouté. En conclusion, il a indiqué que les équipes sont déjà mobilisées pour commencer à échanger sur un calendrier de travail.
Patrice Zoundé (Coll)