(Lire la décision Dcc 25-055 du 20 février 2025)
Les propos de Rachidi Gbadamassi, en réponse à ceux de l’ex-président du Parti du renouveau démocratique (Prd), Adrien Houngbédji, ne violent pas les dispositions des articles 8, 23, 34, 35 et 36 de la Constitution béninoise. Ainsi en a décidé la Haute juridiction qui était saisie de plusieurs requêtes lui demandant de déclarer contraires à la Constitution, les propos du ministre conseiller en charge de la défense et de la sécurité. Pour la Cour, «les propos incriminés, utilisés, du reste, dans le cadre de l’animation de la vie politique, ne révèlent pas une menace sur l’ordre constitutionnel, la paix et l’unité nationale». Lire la décision Dcc 25-055 du 20 février 2025.