(« Cet hôpital est à la hauteur des besoins modernes », confie-t-il)
Le Centre hospitalier international de Calavi (Chic) a reçu une visite pas des moindres dans l’après-midi du lundi 31 mars 2025. Il s’agit de l’ancien président de la République, Nicéphore Soglo qui s’y est rendu pour contempler le joyau érigé par le gouvernement Talon. A l’issue de cette descente qui fait suite à celle effectuée à la Gdiz et à la Cité nouvelle de Ouèdo à Abomey-Calavi il y a quelques jours, le premier président de l’ère du Renouveau démocratique au Bénin n’a pas caché sa joie. « Cet hôpital est à la hauteur des besoins modernes», reconnait-t-il. Lire ci-dessous, ses propos à la presse.
« Je suis fier d’arriver ici parce que cela prouve que tous les peuples quand ils ont des défis, trouvent dans leurs ressources, des hommes et des femmes absolument extraordinaires. Je vois que nous sommes venus ensemble découvrir au fond, la modernisation de notre pays. Quand tu prends la tête d’une famille, il faut d’abord nourrir la famille. Cela, c’est le rôle de l’agriculture. Il faut également éduquer les membres de la famille surtout les enfants pour qu’ils se préparent à affronter la vie. Et naturellement, il faut souhaiter que tout le monde soit en bonne santé. Il y a des piliers de tout être humain où tout animal, c’est cela les éléments de base. Au terme de cette visite ici, je suis heureux et impressionné parce que notre pays et arrivé à se doter d’un minimum pour ce qui concerne la santé de ses habitants. On avait évidemment le centre qu’on avait baptisé du nom du premier président Hubert Maga. On voit que le temps a évolué et que cet hôpital est à la hauteur des besoins modernes.

Je suis heureux également parce que dans n’importe quel pays, ce sont les questions de base qu’il faut régler. Le gouvernement avait déjà au départ l’hôpital Hubert Maga, maintenant nous avons le Chic. D’abord, le nom en dit beaucoup le Chic. C’est vous dire que je suis heureux quand même d’être là, de constater que le pays travaille et qu’on a pu nous faire confiance pour nous donner des moyens pour avoir ses équipements parce qu’on ne prête pas aux pauvres. C’est le sentiment qui m’habite quand je viens de terminer cette visite. Je dois adresser mes félicitations à l’équipe médicale parce que passer sa vie à soigner est une vocation comme enseigner. Vraiment, l’équipe médicale je vous adresse toutes mes félicitations ».
Propos recueillis pour « Le Matinal » par Abdourhamane Touré