La direction générale de la Police républicaine a réagi suite aux informations qui circulent sur les sociaux et qui font état de l’implication de proches parents du directeur général de la Police républicaine dans le commerce de produits pharmaceutiques contrefaits. La Dgpr a remis les pendules à l’heure ce mercredi 03 juillet 2024, à Cotonou, à travers un point de presse de son porte-parole.
Ni le directeur général de la Police républicaine, ni aucun membre de sa famille n’est au cœur de commerce des produits pharmaceutiques contrefaits, contrairement à ce que tentent de faire croire certaines publications sur les réseaux sociaux. A travers un point de presse qu’il a fait ce mercredi 03 juillet 2024, le porte-parole de la Police républicaine a apporté un démenti formel à ces allégations. En effet, selon certaines publications, l’épouse et la belle-sœur du directeur général de la Police républicaine seraient au cœur d’un commerce de produits pharmaceutiques contrefaits qui serait facilité par l’usage d’un véhicule de la Police républicaine. Ces propos, dénonce Eric Orou Yérima, ne sont rien d’autres que des allégations diffamatoires que colportent les initiateurs et leurs complices. Lesquels portent atteinte à la réputation de l’institution et sont attentatoires aux dispositions les plus prosaïques du code du numérique. Tout en se réservant le droit d’ester en justice afin que les auteurs de tels agissements soient identifiés et tenus pour responsables de leurs élucubrations, le directeur général de la Police invite le public à faire preuve de discernement et de responsabilité dans la diffusion de ces propos dénués de tout fondement rationnel. Par ailleurs, il met en garde les personnes mal intentionnées qui se font passer pour ses proches parents en vue de commettre des actes répréhensibles, qu’elles seront démasquées et répondront de leurs forfaitures.
Odi I. Aïtchédji