Le premier adjoint au maire de Porto-Novo, Rachad Toukourou, représentant l’édile Charlemagne Yankoty, a procédé hier lundi 12 juin 2023, au lancement de l’examen du brevet d’études du premier Cycle (Bepc), session de juin 2023 au niveau municipal. C’est le Collège d’enseignement secondaire général Koutongbé qui a abrité le lancement des épreuves.
Accompagné pour la circonstance du troisième adjoint au maire, du chef service jeunesse, éducation, loisirs et sports, Heulèche Tognonmègni ainsi que du chef du deuxième arrondissement de Porto-Novo, Nadia Dossa, le premier adjoint au maire Rachad Toukourou s’est dit très satisfait de l’organisation de l’examen. Il a appelé les candidats au calme,à la sérénité et à la confiance et leur a souhaité toutes les chances de réussir. A la fin de la visite du centre de composition, le premier adjoint au maire, Rachad Toukourou a confié ses impressions aux hommes des médias. « Nos impressions sont bonnes lorsqu’on voit déjà l’organisation qui a été mise en place, on peut dire que la réussite était parfaite », a apprécié Rachad Toukourou. Il explique que lorsqu’on remonte en arrière par rapport à la préparation du Bepc, on constate que tout a été mis en place pour l’organisation et pour la réussite de cet examen. « Vous n’êtes pas sans savoir que des cours d’encadrement de Td ont été organisés à l’intention de ces candidats toujours dans le but de mieux les préparer. Ensuite, il y a eu un examen blanc pour leur rappeler les conditions d’examen. Donc, tout ceci prouve déjà qu’il y a de l’espoir qu’on ait de très bons résultats à Porto-Novo. Nous-mêmes, nous avons accompagné les établissements en mettant à leur disposition un fonds pour les soutenir dans l’organisation des Td. On peut déjà dire que la préparation est bonne. Et ça augure un espoir de bons résultats pour ces examens-ci. Un mot à l’endroit des parents, c’est de leur demander ce qu’ils savent faire le mieux. Ce qu’on peut leur demander pour cette période, c’est de veiller à la bonne alimentation des enfants. Parce qu’à ce niveau-là, il n’est pas rare que si un enfant par malchance prend quelque chose, ça peut ne pas lui permettre de poursuivre la composition. Donc, c’est de veiller à la bonne alimentation des enfants et aussi que les enfants puissent dormir à temps sous moustiquaire imprégnée et pour qu’on n’enregistre pas des cas d’abandons pour raison de santé», a-t-il confié. Le centre de composition de Koutongbé compte 1104 candidats répartis dans 36 salles de classe.
Martial Agoli-Agbo (Br Ouémé-Plateau)