Le recours contre les propos de l’ancien bâtonnier Jacques Migan pour violation des articles 34 et 42 de la Constitution et 280 du Code pénal sera vidé ce jour. A l’audience publique de ce jeudi 22 juin, le rapporteur a suggéré à la Cour constitutionnelle de déclarer que Jacques Migan n’a pas violé la Constitution par ses propos « le peuple veut que Patrice Talon poursuit ». Le dossier est mis en délibéré.