Repêchage du parti « Les démocrates » pour les Législatives du 8 janvier 2023 : Chaque organe et chaque institution a joué son rôle, selon Wilfried Houngbédji

le repêchage du parti « Les Démocrates » pour les  élections législatives du 08 janvier 2023 et le port de casque pour le conducteur et son passager sont entre autres sujets abordés par le Secrétaire général adjoint du gouvernement, Wilfried Léandre Houngbédji. Il était face aux professionnels des médias le vendredi 25 novembre 2022 au siège du journal ‘’L’Autre Quotidien’’. 

Le repêchage du parti « Les démocrates » pour les élections législatives du 8 janvier 2023 a occupé une place de choix au nombre des sujets à la rencontre hebdomadaire du porte-parole du gouvernement avec les médias le vendredi 25 novembre 2022. D’après Wilfried Léandre Houngbédji, chaque organe et chaque institution de la République a joué son rôle dans l’organisation inclusive de ces élections. « La Cour constitutionnelle a instruit le recours du parti « Les démocrates » et a fait droit à ce parti en concluant à l’obligation pour la Céna de prendre en compte la liste remaniée que le parti était allé déposer. Conformément à cette décision de la Cour, la Céna a procédé à une nouvelle étude du dossier et l’a déclaré légal », a-t-il expliqué. Il a ajouté que cette décision de la Cour constitutionnelle va plus rassembler le peuple béninois pour des élections apaisées. Le secrétaire général adjoint du gouvernement a également attiré l’attention des uns et des autres sur la nécessité du port de casque par le conducteur et son passager. « Il s’agit de préserver la vie, la santé et l’intégrité physique des populations béninoises. C’est cet enjeu qu’il faut mettre en avant. L’autorité s’emploiera à faire respecter cette mesure dans les conditions qui respectent le citoyen béninois et l’amener à comprendre que c’est pour son bien qu’une telle décision est prise », a laissé entendre Wilfried Léandre Houngbédji. « Il n’est pas pertinent que ce soit seul le conducteur qui porte son casque. En cas d’accident par exemple, le problème n’est réglé qu’à moitié sinon pas réglé du tout. C’est donc une question de cohérence qui sous-tend la prise de cette décision par l’autorité d’exiger le port de casque pour tous. Il faut donc que cette mesure soit comprise afin que chacun s’y conforme », a-t-il conclu.

Patrice Zoundé (Stag)