Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique, Alassane Seidou, a présidé, le vendredi 11 mars 2022, la cérémonie de fin de formation des 500 élèves agents de Police de la deuxième promotion de l’ère de la Police républicaine dont 31 femmes et 469 hommes. C’est l’esplanade extérieure de l’Ecole nationale des brigadiers et agents de police à Porto-Novo qui a abrité l’événement. Le commissaire principal de Police, directeur de l’École nationale des brigadiers et agents de Police, Yaya Boni Gomina, a salué les cadres formateurs qui ont su inculquer à ces élèves-agents de Police, les premières notions inhérentes aux métiers des armes. Quant au directeur des études de l’école, le Commissaire de première classe, Gaspard Dénonvidé, les élèves ont comblé les attentes au cours de la formation. Ainsi, le major de la promotion, Clétus Hugues Bognon a obtenu une moyenne de 17,32. Au niveau des filles, la première, Carmine Mékoudé a eu 15,73. Le porte-parole des récipiendaires, Rachid Akpo, a, au nom de ses collègues, rassuré de leur engagement à agir sans relâche pour protéger leurs compatriotes et servir la nation avec abnégation. Le Directeur général de la Police républicaine, le contrôleur général de Police, Soumaïla Yaya, a souligné que l’intérêt accordé à cette formation a permis d’atteindre les objectifs et il urge d’inviter les récipiendaires à garder à l’esprit que seul le travail bien fait sans rançonnement augure d’un avenir radieux. Deux séances de démonstrations en intervention professionnelle effectuées par ces élèves et agents de Police ont rassuré le ministre Alassane Seidou ainsi que le contre-amiral, Jean-Baptiste Aho, chef d’état-major général des forces armées béninoises. Dans son mot de clôture, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique, Alassane Seidou, a déclaré que, être policier, c’est s’engager à servir la République pour combattre l’injustice et la délinquance malgré les risques et les difficultés. C’est pourquoi, il ne doute pas que les récipiendaires sauront traduire dans la rigueur et avec beaucoup d’abnégation tout l’espoir que la République a placé en eux.
M. A-A. (Br Ouémé-Plateau)