Une délégation du Bureau politique du parti Mouvement des élites engagées pour l’émancipation du Bénin (Moele-Bénin) s’est rendue à la Zone économique spéciale de Glo-Djigbé. C’était le vendredi 27 juin 2025.
Deux temps forts ont marqué cette visite de la délégation du parti Moele-Bénin conduite par son président Jacques Ayadji. Il s’agit de la présentation de la maquette du hub industriel qu’est la Gdiz, un exercice assuré par Herbert Sémassa Moutangou Ganmou, directeur commercial de la Société d’investissement et de promotion de l’industrie (Sipi). La délégation de Moele-Bénin ensuite eu droit à une visite guidée dans trois principales unités industrielles du Centre. Il s’agit de l’unité textile de la Gdiz, un parc textile ambitieux, doté d’une technologie de pointe et qui se caractérise par sa qualité, sa productivité et ses systèmes écologiques générant une faible empreinte carbone. Cap fut ensuite mis sur la l’unité industrielle de la Société Benin textile (Btex Sa). Ici, Jacques Ayadji et sa délégation ont été introduits dans les différents compartiments de fabrication de serviettes et de fils avec des milliers d’équipements de pointe. La troisième étape de la visite guidée de la délégation du bureau politique du parti Moele-Bénin a été l’unité de fabrication du carreau où au pas de charge, les visiteurs ont parcouru les différents maillons de la chaine de fabrication du carreau. Emerveillés par cette visite qui a duré plus de trois heures d’horloge, Jacques Ayadji et ses lieutenants, n’ont pas caché leur émerveillement face à ce hub industriel qui se construit au Bénin et qui intègre parfaitement la vision du gouvernement d’opérer une transformation structurelle de l’économie du pays. « A travers cette immersion dans cette grande entreprise que le président Patrice Talon a mise en chantier, on a compris que dans notre pays, on peut faire ce que nous appelons à Moele-Bénin, le patriotisme économique qui est le socle de notre parti politique : la vision principale qui consiste à produire ce que nous consommons et à consommer ce que nous produisons, pour mettre la jeunesse au travail, enrichir notre pays pour lui permettre d’autofinancer son développement », a confié Jacques Ayadji.
Gabin Goubiyi