« Enfin, le récépissé définitif on dira car l’Udbn ne comptait pas aller aux élections étant donné que le parti (Udbn) a décidé de faire fusion avec le Br. Malheureusement, cette fusion n’a pas marché. On est parti quelques mois après. On n’est pas très loin des élections. Nous avons réussi à nous remobiliser, à avoir d’autres adhésions, des forces qui nous ont rejoints. Nous avons réussi dans ce combat à préparer nos dossiers, à les déposer et à les faire valider. Vous comprenez donc ma joie. Rien ne faisait le blocage à la dernière minute. Nous avons déposé un dossier et ils nous ont dit qu’il y avait des pièces qui manquaient. Nous nous sommes battus pour avoir ces pièces. Ce qu’on a déposé. C’est à la Céna d’étudier les dossiers. On n’a pas fait appel à l’Anip pour satisfaire nos dossiers (Ubdn). Il y a des études de fond qui se font. Il y aurait eu un candidat dont les références de son Numéro d’identification personnel n’étaient pas justes. Ce n’est pas lui qui écrit les numéros sur ces documents. Donc, ce sont les responsables de l’Anip qui le font. La Céna a interpellé l’Anip qui a confirmé que ce Monsieur existe bien et a bel et bien un document. Ce n’est donc ni la faute du parti, ni celle du candidat. La faute, vous pouvez imaginer où elle se situe. La suite, c’est la suite du combat. C’est maintenant que tout commence. Nous devons véritablement aller à la conquête de l’électorat. Leur faire connaître notre offre. Le mot d’ordre, c’est : légiférer autrement. Nous allons véritablement dans l’intérêt du peuple légiférer autrement si ce peuple nous permet d’aller à l’Assemblée nationale. Il faut être uni et déterminé pour renverser la campagne de désinformation qui ne nous fait ni froid ni chaud. »